La couverture professionnelle expliquée simplement

La couverture professionnelle expliquée simplement

Il existe différents critères qui influencent ou limitent le choix des matériaux utilisés pour la couverture du toit. Il s’agit notamment de la construction :

La forme du toit

En outre, les règles de construction doivent être respectées. Même le style de construction de la maison a une influence sur l’échec de la couverture du toit : le toit d’une maison de construction traditionnelle sera certainement couvert de matériaux traditionnels plutôt que de matériaux modernes. Toutefois, les matériaux habituellement utilisés pour couvrir le toit diffèrent également d’une région à l’autre et il existe même des matériaux typiques pour chaque région.

La pente de toit dite « normale » est utilisée comme valeur de référence pour déterminer jusqu’à quelle pente, c’est-à-dire jusqu’à quel degré d’inclinaison, les matériaux de couverture de toit sont considérés comme résistants à la pluie. Si vous chercher un couvreur dans le 92, rendez-vous sur lecouvreur92.fr !

La règle est la suivante :

Les tuiles à emboîtement sont souvent utilisées, par exemple pour les toits à deux pans, lorsque l’inclinaison du toit est supérieure à 22 degrés.
Si la pente du toit est comprise entre 30 et 35 degrés, on utilise volontiers des tuiles plates comme les tuiles plates.
Et les toits plus pentus (à partir de 40 degrés) sont souvent recouverts de tuiles creuses.
Il faut savoir qu’il ne s’agit là que d’une valeur indicative, en dessous de laquelle il est possible de descendre en prenant des mesures complémentaires telles qu’une sous-construction (charpente) appropriée et une sous-toiture étanche.

Lors du choix des couvertures de toit disponibles, on distingue en principe les matériaux durs et les matériaux souples. Comme le terme l’indique, les matériaux de construction se distinguent par leur dureté. En outre, les couvertures de toit dures sont recouvertes sur la couverture de toit et les couvertures de toit souples sont partiellement utilisées comme couverture de toit.

Le terme de toiture dure est décrit par la norme DIN 4102 partie 4. Selon cette norme, un toit recouvert de matériaux de couverture durs se caractérise par le fait qu’ils protègent suffisamment contre la chaleur rayonnante et les incendies volants. Du point de vue de l’histoire de la construction, les toits en dur étaient souvent recouverts de tuiles en argile cuite ou de plaques en pierre naturelle comme le grès, le gneiss ou l’ardoise. Aujourd’hui, les toits en dur sont recouverts de tuiles en béton, de bardeaux bitumineux, de carton bitumé, de fibrociment, de plaques d’Eternit, de plastique ou de métal, de verre (par exemple de verre acrylique). Mais les panneaux solaires intégrés au toit font également partie des couvertures « dures ».

Les matériaux de construction organiques font partie de la couverture souple. Leur utilisation pour la couverture de toit est souvent liée à des habitudes culturelles de construction. Ainsi, dans le nord de l’Europe, on trouve encore traditionnellement des toitures en bois et en herbe ou, dans les régions asiatiques, des toitures en bambou. Si vous cherchez un couvreur à drancy, rendez-vous sur lecouvreur93.fr ! En Allemagne, le toit de chaume fait partie des toits à couverture souple, que l’on trouve principalement dans le nord du pays. En revanche, les nouvelles constructions modernes sont parfois recouvertes d’un toit vert ou de gravier.

Source : energie-experten.org

Articles Similaires

Installation solaire : choisir un installateur local ou une grande entreprise ?

Installation solaire : choisir un installateur local ou une grande entreprise ?

Les portes d’entrée en aluminium : un choix durable et écologique pour votre habitat

Les portes d’entrée en aluminium : un choix durable et écologique pour votre habitat

Pourquoi il est impératif d’exterminer les fourmis charpentières de votre propriété ? 

Pourquoi il est impératif d’exterminer les fourmis charpentières de votre propriété ? 

Invasion de souris à Montréal : comment réagir en cas d’infestation ? 

Invasion de souris à Montréal : comment réagir en cas d’infestation ?